mardi 2 juin 2009

Paris, mon Paris

Paris est si belle, de pierre grise et de fer mat, opulence hiératique
d'un passé dont les morts hantent les lieux,
mais dont les vivants sont absents.
Les parisiens n'apportent rien au soleil qui se couche sur Paris.

3 commentaires:

  1. N'autre Monde, Paris mon Paris, N'autre France...
    J'en connais au moins un qui sait s'approprier son espace !

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  2. "Ma Terre" à moi, n'est que le fond azur d'un pot de fleur, maculé de terre (voir l'article "it turns but does it fly ?)... mais je plaisante, je sais bien que ce qui t'appartient vraiment, c'est ce regard sur le monde, une photo et les mots pour le raconter. Une belle prose poétique.

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  3. Je prends conscience de l'antiphrase : En fait j'appartiens à Paris.
    J'en vois les morts à chaque rue, et je revis l'assassinat du bon roi Henri à chaque fois que je passe rue de la Ferronnerie.

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